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Articles de tekarukisaragi

  • Analyse 2 [Paroles]

    « Analyse du sujet 773 complétée à 48%
    Le sujet présente des signes de rebellions ainsi que des difficultés significatives à s'intégrer à un groupe d'individus lambda

    Agressivité : accrue, violence : accrue, indépendance de la pensée et de l'action : accrue

    Le sujet semble également vouloir déjouer le système au sein duquel il évolue, rejette toute forme d'autorité
    773 a pris le contrôle de moyens de communication
    Reprise de l’analyse »

  • Tu lui diras [Paroles]

    [Couplet unique]
    T'avais la haine mais que t'as trop d'amour 
    depuis que les larmes sur tes joues sont juste là parce que t'es né un jour de pluie
    Tu lui diras qu'sous ses coquards, 
    faut mettre des sacs de glace, 
    que toi aussi, tu t'asseyais au fond d'la salle de classe
    Qu'il faut profiter de la vie au cas où y a pas d'après, 
    qu'tu veilles sur lui quand il s'endort sur le canapé
    Que les gens pensent qu'à maquer ou arnaquer, 
    tu lui diras qu'au foot, c'est pas grave s'il a pas marqué
    Tu lui diras qu'tu feras tout pour lui, 
    quе ton père aussi t'aimait même si tu portais des habits tous pourris
    Quе t'avais tout anticipé, 
    que toi aussi, t'étais un enfant dissipé, 
    qu'il n'ait pas peur des coupures d'électricité
    Qu'il y a des déceptions à chaque saison, 
    qu'il y a l'amour et la raison, que la rue, c'est pas ta maison
    Tu lui diras qu'il y a des choses à assimiler, 
    que la vie n'est pas facile quand t'as pas un salaire à 6000E
    Qu'à sa naissance, ton cœur est là, pillé, 
    tu lui diras qu'il faut faire ses devoirs et n'pas s'endormir habillé
    Que les rêves ne servent qu'à trop piéger, 
    que les cauchemars se réalisent mais qu'tu seras là pour le protéger
    Que même s'il n'y croit pas, il faut passer le bac, 
    que lorsque l'argent manquera, faudra prendre des paquets de pâtes
    Qu'à chaque promesse, il ne faut pas y croire, pour une pute, 
    de pas s'mettre dans des sales histoires, surtout les samedis soir
    Qu'sa mère est belle et qu'tout est parfait, 
    tu lui diras que le monde tourne autour d'elle même si c'est pas vrai
    Qu'la vie défile beaucoup trop vite, mine de rien, 
    qu'il veille sur sa p'tite sœur comme si elle allait mourir demain
    Qu'il t'a apporté l'équilibre, que dans ta vie, 
    il était temps, qu'le shit détruit des vies, que le Coca détruit les dents
    Qu'il faut se prendre pour ce qu'on est, 
    qu'on pense qu'on se connait, que parfois, il faut braquer pour ceux qu'on aime
    Tu lui diras qu'tout allait bien, qu't'es passé pour voir, 
    que la vie s'ra pas toujours rose, le présent, pas toujours noir
    Que bien souvent, celui qui nie a peur, qu'il faut pas s'attacher, 
    qu'au fond, les Hommes ne sont que des oiseaux migrateurs
    Tu lui diras que les cauchemars vont passer, 
    que les amis sont pires que les ennemis, 
    regarde les pions qu'ils ont placés
    Que le bonheur, ceux qui n'l'ont pas, le braquent, 
    que bien souvent, dans la vie, les vrais héros n'ont pas de cape
    Que tu veilleras sur lui et même dans l'au-delà, 
    qu'à sa naissance, sa mère versait déjà des seaux de larmes
    Qu'il pense à toi lorsqu'il aura l'âme en peine, 
    qu'une chose est sûre, c'est que papa et, surtout, maman t'aiment

  • Sully [Paroles]

    [Couplet  I]
    Nos futurs gosses
    Qu'est-ce qu'ils voudront croire ou pourront voir ?
    Des mecs égorgés, des seringues, des poumons noirs
    Les années t'ont trop rongé alors t'avances sans trop broncher
    Les yeux ouverts les cauchemars viennent se prolonger
    On t'a méchro mais t'as gaffé il faut qu'ça cesse
    Au mur des remords agrafés des pochtons de cess'
    Et des garrots dans des tasses à café
    Remords sous tes kho, toi tu penses que tout est rose
    Anciens assoc' sont sous les roues des mères de famille sous héro
    Et au final tu dis bah qu'on t'a bien baisé
    Et t'as bien raison à chaque saison t'as le regard d'un chien blessé
    Et jusqu'à ce qu'on te baise tu penses que tu pèses
    Ils se prennent pour des braves
    Ils sont bons qu'à s'manger des balles attachés sur une chaise
    Tu penses qu'au bif et en tron-li donc tu t'sens sûr de toi
    10 ans plus tard tu pleures des morts capuché sur le toit
    Et t'attends qu'le temps passe mais du coup y'a rien du tout
    Rien de fou sauf dans deux jours p'tet ton cadavre au pied d'une tour
    Dans tous les cas on te la met sur de la feush ou de l'amné
    Y'aura pas de classement pour le dealer de l'année
    On s'emprisonne et les gens comme toi s'isolent
    Et souvent sous came et sel qui t'épousera sous camisole?

    [Intro]
    On va gagner cette guerre !
    Je n'ai aucun doute à propos de ça
    J'dis juste qu'il y en aura une autre
    Faudra faire la guerre à quelqu'un d'autre
    Et on reviendra dans ce trou à rat, ou un endroit qui lui ressemble
    Et encore et encore et encore
    C'est comme ça que ça marche
    Jusqu'au jour ou on perdra la guerre j'imagine


    [Couplet II]
    Est-ce les autres qui le sont ou est-ce moi qui suis fou ?
    Est-ce vous qui faites comme moi ou au fond c'est moi qui suis vous
    Très peu d'photos sur l'appareil et j'tourne en rond comme dans un putain d'aquarium
    Plus d'couleurs vives sur l'aquarelle
    Et j'comprends ni les hommes ni ceux qui font des tournantes
    J'ai des remords qui doucement des souvenirs qui me tourmentent
    On fait pas dans la mendicité et à nos proche on en dis si peu
    Car ya trop de traîtres à anticiper
    Aujourd'hui font les fous ils écoutaient de la pop hier
    On verra l'canon enfoncé dans ta paupière gauche
    La vérité c'est naze ici toi d'la rue t'es la risée
    ??? leur vies sont trop scénarisées
    A chaque saison et j'pense à Gosni le réseau mais
    Prendre une maison mais ya que la mort qui pourra m'résonner
    Et toi petit tu ramais, mais tu rames encore
    Et tu rameras encore, comme en Mer Méditerranée

    [Intro]
    Tu veux savoir c'que je pense ? C'est qu'un putain de gosse
    Il s'lève chaque matin dans le même quartier que nous
    Il va chier, il va se doucher, et il est normal
    On peut s'le faire, parce qu'il y a toujours une solution

    [Couplet III]
    Que dieu ne protège pas nos ennemis qu'ils se barrent à des kilomètres
    Et les poucaves qui veulent le prix d'un kilo d'meth
    J'ai attendu un signe en sachant qu'il tarderait
    Les pensées noires sont martelées j'fais mon lit sur des barbelés
    À 45 mon coeur déclenche à l'ABS
    En attendant j'suis avec ma déesse en Yamaha ou Label S
    Ça t'fait marrer tu penses à celle que tu vas marier
    Le fait d'avoir perdu veut pas dire qu'on à gagné Vato

    [Intro]
    "De quoi est-ce que tu parles bordel ? On l'a gagné cette guerre !
    C'est ça l'important !
    Nan mais attends j'hallucine t'es qui pour me juger toi hein ?
    Tu vas m'expliquer ce que j'ai à faire ?
    J'ai pas besoin de m'justifier auprès de toi ok ?
    Si j'ai fait ce que j'ai fait aujourd'hui c'est pour qu'on soit les boss
    C'est pour ça que j'suis là et j'ai réussi
    Tu comprends ça autant que moi je l'sais

    Le fait de pas voir perdu, ça veut pas dire qu'on a gagné

  • V [Paroles]

    [Couplet 1]
    Encore ce matin réveil t’a matraqué
    Et la nuit dernière t’as peu dormi
    Ton putain de portable ne sonne presque plus
    En même temps c’est normal car t’as peu d’ami
    T’allume la télé mais l’as regarde pas
    Y a trop de choses en toi donc tu parles peu
    Des sourires forcés car y’a pas de quoi
    Et demain matin y aura pas de mieux
    T’aime ta mère car t’es tout pour elle
    Mais t’avance très peu frère même en courant
    Et tu te sens seul même entouré
    Retour au point de départ même en tournant
    Et parfois t’y pense voudrait tout effacer
    Car au fond de toi ouais tout est glacé
    Tout est passé ouais mais tout est classé
    Donc au final à l’intérieur tout est cassé
    Ici peu d’appel à la paix ou d’appel à l’amour
    Des appels à la mort
    Et petit tu chialais pour la paire à la mode
    Et demain tu pleuras pour un frère à la morgue
    Tu rigoles devant les gens mais t’es vide au fond frère
    Des images incrustées comme un clip en fond vert
    Tu croyais les connaître mais t’as perdu ton flaire
    T’as pas peur de mourir mais t’as peur de ton père
    Et ça te fous le seum comme un bug sur Netflix
    Et tu vois rien comme un œil vers l’éclipse
    Ton repas un hamburger et des chips
    Vois tout en rouge vois tout en bleu comme les Crips

    [Refrain]
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Alors tu fumes pour oublier qu't’oublies pas
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Regarde dans les autres, tu vois la vie que tu vis pas


    [Couplet 2]
    Très peu de prière donc le diable apprécie
    Y’a que quand tu dors que t’as le cœur apaisé
    Tu fais quelques rêves mais c’est pas très précis
    Tu cherches une meuf bien mais tu penses qu’à baiser
    On te calcule pas car t’as peu d’abonnés
    Tu te demandes elle est où ta 
    Bonnie
    Enfin tu l’as connais mais tu vas pas te ranger
    Pour ton frère t’as promis, comme d’habitude
    Rien de plus beau que les silences
    Les souvenirs s’y mettent les pensées se cimente
    Le temps passent et défilent comme une étoile filante
    Et t’attends moins demain que la saison suivante
    Demain sera pareil mais qu’est c’que t’en sais ? Passe le feu mec
    Tu n’as que faire de danser, quelques taffs et nuages de pensées se dirige vers la fenêtre
    T’en a rien a foutre des gens et tout
    T’en a rien à foutre d’essayer de voir
    Toi tu veux qu’on te laisse t’as des idées noires
    Et depuis hier soir t’as décidé de boire
    Donc qu’il ferme leur gueule car t’es au bout du bout
    Qu’il te laisse dans ton coin car t’as assez merdé
    Qu’il te tente pas la main quand t’es au fond du trou
    Et te donne pas des raisons de pas t’énerver

    [Refrain]
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Alors tu fumes pour oublier qu't’oublies pas
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Regarde dans les autres, tu vois la vie que tu vis pas
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Alors tu fumes pour oublier qu't’oublies pas
    Demain sera comme hier, hier fut comme aujourd’hui
    Regarde dans les autres, tu vois la vie que tu vis pas

  • Error 404 A [Parole]

    [Intro]
    Ça veux pas fer-ta mais être vite blindé
    J’viens tout niquer pas de Niken wesh
    Un 44 derrière vitres teintées
    Porteuse arrive, pourvu qu’elle neige


    [Couplet unique]
    Y’a que victoire comme lien de parenté
    La daronne s’inquiète tant qu't’es pas rentré
    On s’barre pas d’ici tant que c’est pas rempli
    Et tu croyais quoi, on va pas ramper
    Je m’en bas les couilles de qui t’a validé
    On va te chouara tеs plans comme t’as pas idée
    Et nique еux, leurs mères et leur charité
    Sous l'tampon d'la frappe, que d'la qualité
    Frappe tes façades, ressent l’élévation
    Coup de casque dans ta mère pour la célébration
    Dans l’équipe y’a de tout pas de ségrégation
    Et j’pisse sur les lois comme la fédération
    Ça bibi en hiver ça bibi en été, PD, des sacs à 1000 tal pour ta go, ta daronne toujours endettée, PD, garde tes plans tout pétés
    Passe les balo on va tout placer
    J'regarde même plus le banc des remplaçants
    J’viens pas à ta réss’ ou je vais tout casser
    J’suis Dostoïevski Kofal-Maupassant
    J’marche solo dans ma tête on est 12, si tu m’baises on s’revoit en enfer
    Si tu m’arranges une fois on est couz’, si tu m’arranges deux fois on est frère
    J’arrive en traître comme un coup de ciseaux

    Bats les reins de oit comme un cours de philo
    Hier, j'te souhaitais le bien, demain j'te souhaite rien, bah ouais on est tous schizo
    Un appel au drame, un appel aux armes
    Raconte pas ta vie, prend ton tér' et taille
    Scred mais efficace comme DeMar DeRozan
    Je vais porter l’équipe dans le MoneyTime
    Le bien le mal pas de séparation
    Ils ouvrent trop leurs gueules, savent que parader
    Ouvre là encore on va pas te rater
    J’t’attends depuis la surface de réparation
    Chaque terrain est miné, wesh minot, que des mâles dominant
    Y’a pas de dominé
    Vise le podium comme l’Inter de Milan et j’viens pas si j’suis pas nominé...

  • Analyse 1 [Paroles]

    « Analyse du sujet 773 complétee à 22%
    Capacités physiques et cognitives optimales
    Intéraction complexe avec les autres individus, qualité des relations dégradée
    Le sujet présente un névrotisme important ainsi qu’une empathie inférieure à celle des autres sujets

    Stimulation accrue des 3 formes d’universalisme
    773 ne représente pour le moment aucune menace réelle pour le système
    Reprise de l’analyse en cours »

  • Course au néant [Paroles]

    Falcko blackcode parole3

    [Refrain]
    Alors on va saigner évidemment
    Jusqu'à c'que cette putain d'lumière s'éteigne
    Et que j'retourne à ma vie d'avant
    Et j'écris sous les "Han tu crois qu'tu pèses t'es fous t'es rien
    Petit on foutait rien et sur l'terrain c'est la course au néant

    [Couplet I]
    Ils ont douté de moi, alors j'ai mis toute ma haine
    A cette époque ça charbonne vato j'ai pris deux locs
    J'ai plus R j'ai mis toute ma paye et toute ma peine aussi
    Ca ira mieux demain c'est ce qu'ils m'ont dit
    Parcе que j'ai vu, j'pense à cе qu'ils m'ont prit
    Mama pour changer j'ai fait c'que j'ai pû
    Dix ans plus tard ils osent dire que j'dors
    Comme un disque d'or
    J'regarde par la fenêtre, la nuit est tombée
    Et j'vois l'avenir et c'est plus que mort
    Maintenant j'vais trop vite rien ne peut m'arrêter
    J'ai des rêves à réaliser glock sur la nuque pour qu'il vois les siens
    On t'rouleras sûr même si y'a pas d'réseau
    Regarde dans mes yeux tu vois l'passé gravé
    Joue pas les gravons, maintenant c'est nous les grands
    On à pris les rrain-té maintenu tous les rangs
    On peut tolérer on veut tous les ronds
    Il fallait tracer y'avait pas d'chemin
    Et pour té-mon y'avais pas d'schéma
    J'ai fais les comptes sur les parchemins
    Et p'tit dans ma tête j'avais pas d'chez moi

    [Refrain]
    Alors on va saigner évidemment
    Jusqu'à c'que cette putain d'lumière s'éteigne
    Et que j'retourne à ma vie d'avant
    Et j'écris sous les "Han tu crois qu'tu pèses t'es fous t'es rien"
    Petit on foutait rien et sur l'terrain c'est la course au néant
    Et maintenant j'vais trop vite j'peux plus m'arrêter
    J'regarde le sang qui coule le temps qui passe
    C'est l'heure d'rembourser tout le bif qu'on t'a prêté
    Ferme en partant car dans mon cœur y'a plus de place
    Et maintenant j'vais trop vite j'peux plus m'arrêter
    J'regarde le sang qui coule le temps qui passe
    C'est l'heure d'rembourser tout le bif qu'on t'a prêté
    Je fume puis j'ferme les yeux et tout s'efface

    [Couplet II]
    Toi t'as des principes peut pas t'évader
    J'ai demandé au daron m'a dit c'est la vie
    On va miser les nôtres comme dans l'Nevada
    J'vois la mienne comme Palestinien qui vois Tel-Aviv
    On respecte que nous même on joue pas à ces jeux
    A coups de peine de placard là ton frère s'assagit
    Des embrouilles de merde les tieks sont assiégés
    Une arme à feu sous le siège passager
    Les flinguer qui va l'faire sous du ???
    Ca pose panaméra mais tu ???
    C'est pas que j'aime pas l'homme mais j'suis paranoïaque
    C'est quand j'suis breliqué que tu voudrais qu'on cause
    Ca fait détale mais pense qu'à trainer
    Quand elle t'connaitras elle voudras t'aimer
    Mais pour l'instant bah t'es sur l'terrain
    Ouais t'es sur l'terrain ou dans la télé
    On parle de ma vie j'suis en surtension
    Négocie pas l'tarot on fais pas demi
    Tu fais l'fou j'te laisse dans le doute comme point d'suspension
    Et on vient t'fumer skred comme la BAC de nuit
    Regarde par la fenêtre ya des barbelés, loin des barres de rire
    Le bonheur t'as compris qu'il tarderait
    Et qu'tout se démode comme du Burberry

    [Refrain]
    Alors on va saigner évidemment
    Jusqu'à c'que cette putain d'lumière s'éteigne
    Et que j'retourne à ma vie d'avant
    Et j'écris sous les "Han tu crois qu'tu pèses t'es fous t'es rien"
    Petit on foutait rien et sur l'terrain c'est la course au néant
    Et maintenant j'vais trop vite j'peux plus m'arrêter
    J'regarde le sang qui coule le temps qui passe
    C'est l'heure d'rembourser tout le bif qu'on t'a prêté
    Ferme en partant car dans mon coeur y'a plus de place
    Et maintenant j'vais trop vite j'peux plus m'arrêter
    J'regarde le sang qui coule le temps qui passe
    C'est l'heure d'rembourser tout le bif qu'on t'a prêté
    Je fume puis j'ferme les yeux et tout s'efface

  • Banshee [Paroles]

    Falcko blackcode parole2

    [Couplet unique]
    Bien loin de l'époque des rêves et des vies de cinéma
    Maintenant je sais qu'je saigne et j'me sens bien dans une salle vide de cinéma
    J'aime pas le succès mais en même temps j'aime pas sucer
    S'tu savais pas maintenant tu sais, j'suis dans l'espace sans la fusée
    J'suis sur le Nikel le ciel est gris j'veux tout niquer mais quel est le prix
    Pour sortir еlle s'dit quel sac moi j'me dit quеlle arme quel étui
    Une nuit le bateau dériva j'suis comme un trône sans héritier
    Comme un noir en série j'suis comme un Nero de série B
    La vérité et on va mourir dignement si on est prit d'assaut
    Evidemment t'es Gennaro, j'suis Ciro Di Marzio
    On a jobbé par tous les temps alors les frères écoutez moi
    Ils te sourient quand tout est blanc il te trahissent quand tout est noir
    J'étais heureux, petit garçon sans palper
    Aujourd'hui j'suis un Boeing j'me sens comme un avion en papier
    Y'a plus de couleur dans mon ciel et j'me suis prit dans mon piège
    Le regard vide je vois le monde enfoncé dans mon siège
    J'parlais en jour maintenant j'parle en soir en mal en soit
    En Chrome en dette en kiff entends des ienclits sur les balancoires
    Et quand je me réveille je me demande encore ou je vis
    Et puis je me rappelle que j'avais un pompe scotché sous le lit
    Askiparait quand je dors je parle alors surement je parle en tonne
    Et mes fantômes qui me conseillent de braquer place vendeaume
    Si j'pouvais j'préférerais poser mon cul sur le banc dans une FAC
    Mais j'ai vu mon avenir à travers du sang dans une flaque
    Et j'ai la flemme mais crois moi j'voulais m'élever
    La musique j'pense à elle mais le texte s'écrit sous mes feux LED
    Et on vivra nos putains de vies d'artiste séparément
    Pour moi c'est pareil mais ils parlent d'être vrai mais ne l'sont pas vraiment
    Tu connais rien mais rien qu'tu parles j'comprendrais si tu t'barres
    On va toujours trop loin pour ceux qui vont nulle part
    A part se fermer les portes je me demande ce qu'a fait notre âge
    Et on va tous rentrer au port juste après avoir fait naufrage
    Et me parles pas comme si j'avais raison parce que j'en sais rien
    Tout ce que je sais c'est qu'le temps passe vite comme les saisons et qu'jen fait rien
    Et dans l'équipe plus d'dix tarés alors tu rappes et l'envie disparait
    Combien de fils de pûte? Combien d'entre eux se disent carré?
    Et en hiver on t'laisse cailler des rêves dans les cahiers
    Des gribouillis des textes écris endormi dans les escaliers
    J'les connais trop donc j'préfère m'abstenir d'les côtoyer
    Mais je m'en veux au fond car j'ai vu trop d'akhi ici gros s'noyer
    Alors j'te regarde quand tu danses et t'écoutes quand tu penses
    Mais je transporte que des putains d'mauvaise nouvelle comme ambulance
    En regardant mon temps d'vie expirer et puis au fil du temps plus une visite
    Je m'entends respirer j'ai construit des murs invisible
    Mais frère tu mens
    On s'aimera éperdument
    Mais tu vois rien à part du vent
    Et au final t'es perdu nan?
    Au fil des ans des envies d'ailleurs
    L'argent se blanchit
    Que des bailleurs et des brailleurs
    Poto, j'suis The Wire et Banshee