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Black Code: Tome II (2022)

  • Plus rien à foutre [Paroles]

    [Couplet I]
    On stagne pas, constante évolution
    T’es BFM, j’suis la révolution
    Première trahison j’te pardonne, la deuxième ?
    J’te nique ta mère en haute résolution
    Difficile tout comme la vie de père
    Je joue pas, j’ai pas envie de perdre
    Veulent que tu sourris devant ta vie de merde
    J’suis pour la paix donc j’veux navire de guerre
    J’ai des potes, j’les appelle pas souvent
    J’aime pas trop que l’on vienne me sauver
    Genoux à terre, j’pense qu’à ma mère
    Parce qu’il y a que ta mère quand chtars viennent te sauter
    Fuck le covid, Fuck le sénat
    Moi J’fais ma vie, j’regarde plus la télé
    Ça sert à rien comme le tréma
    Plus j’regarde l’homme, moins j’arrive à l’aimer
    J’taff week-end, jours fériés, la semaine
    Moi j’prends tout ce qui n’est pas sien
    Pour diviser cette putain d’race humaine
    Suffit d’une télé puis d’un vaccin
    Le parlement c’est qu’des piques assiettes
    Et nique leurs traçage, leurs applications
    Jouent les humanistes que de 6 à 7
    À chaque mort ils nient leurs implications…

    [Refrain x2]
    J’en ai plus rien à foutre ouais ouais ouais ouais
    Les potos, les matchs de foot ouais ouais ouais ouais ouais
    Donc seul j’continue ma route ouais ouais ouais ouais ouais
    M’appelle pas j’men bas les couilles ouais ouais ouais ouais ouais

    [Couplet II]
    Mais putain que ce monde est fou
    Tu veux faire des leçons, vas-y toi bouge
    Des parlementaires qui détournent des fonds
    Des putains d’escrocs comme la croix rouge
    J’vais partir sans rien dire, c’est la vie
    On s’doit rien, s’calcule pas, s’appelle plus
    Soit en paix soit d’une balle dans la vitre
    Dignité, loyauté ça paye plus
    On est tous égaux, ouais va l’dire aux ânes
    P’tit con, range ton arme, il va rien m’arriver
    On est pas égaux, toi t’es pas d’ma lignée
    Ouais j’suis Chicago, ouais j’suis Derozan
    Moi j’ai pas changé sous le casque noir
    Mais frère plus t’es vrai, plus tu ramasses les coups
    Moi j’ai pas changé sous le casque noir
    Et plus j’vois le monde et plus ca m’casse les couilles
    Lorsque j’ouvre les yeux, j’vois le monde tel qu’il est
    Toi tu m’parles de vrai mais qui l’est ?
    Tu cherchais l’enfer, bah t’y es
    À chaque putain d’phrase moi j’mets des pointillés
    J’écrirai la meme quand j’aurai des p’tits « moi »
    Et dans leurs petits yeux, vato j’my perdrai
    J’dirai à ma fille « ferme les yeux et suis moi »
    J’dirai à mon fils ce qu’était la liberté

    [Refrain x2]
    J’en ai plus rien à foutre ouais ouais ouais ouais
    Les potos, les matchs de foot ouais ouais ouais ouais ouais
    Donc seul j’continue ma route ouais ouais ouais ouais ouais
    M’appelle pas j’men bas les couilles ouais ouais ouais ouais ouais

  • Error 404 G [Paroles]

    [Couplet unique]
    Moi, ouais j'suis baisé comme ma génération, et j'resterai le même ici ou ailleurs
    J'encule la ligue et la fédération, marche le pompe sous la veste comme dans The Wire
    Quatre, cinq, six puces dans le sac à dos, j'deviens parano quand c'est saccadé
    J'connais la fin du film, et tu veux savoir ? A la fin du film, j'ai vu qu'ça canait
    On s'en bat les couilles d'se faire valider, tout l'monde va couler comme le Titanic
    On va t'niquer ta mère, faut t'faire à l'idée, puis j'm'arrache dеmain, passeport britannique
    Respеct dans l'retrait comme une larme de coin, on va t'fermer ta gueule comme une arme de poing
    J'augmente les tarots comme la démographie, un putain de 3.5.7 j'installe démocratie
    Eux, leurs vies c'est dormir et bosser, moi j'pense qu'à rosser pour l'salaire à Rossi
    Pas d'chicane sur le pot Malossi, 4 roues motrices, suspensions réhaussées
    Et même l'Enfer ne voudra pas d'moi, sur ton terrain j'suis en 3-4-3
    Fuck Dushane, j'ai coupé l'échelle, tout pour l'bénef poto, y'a pas qu'toi
    Ma jeunesse : des jours à jeûner, j'connais pas les plans pas chelous
    J'te ferai pas la passe si je l'ai, le daron m'a dit : "A ramper sans fin, on meurt à genoux"
    Contrôler sa vie un glock dans les mains, faut faire de l'oseille j't'ai pas dit d'traîner
    Ne crois pas en tes rêves, ne crois pas dans les miens, on t'a dit "tolère" j't'ai pas dit d'aimer
    Bon temps pour mourir, c'est l'hiver, je sens
    J'vais t'faire chialer des rivières de sang
    Partir après toi, c'est la vie, je sais
    Le jour je souris, c'est la nuit je saigne
    Toi tu connais R, veux faire l'grand disciple
    J'ai perdu trop de temps sur les bancs d'ici
    Très peu d'amour, les armes brandissez
    Toi, tu casses les couilles comme un iencli d'C
    Petit, la vie d'ma mère j'comptais pas les heures, loin d'cette putain d'époque j'comptais pas les traîtres
    J'veux ta tête dans l'viseur comme equalizer, parce que t'es qu'un fils de pute qui paie pas ses dettes
    Pas faire des tals, gros y'a pas de raison, donc j'ai tout investi, ouais quand j'ai su l'prix
    Les hommes s'entretuent que pour trois raisons, j'suis 536 après Jésus Christ
    Bang

  • Épicentre [Paroles]

    [Couplet unique]
    Cette vie devient épuisante et j’trouve ça abusé…
    Moi j’suis dans l’épicentre ou j’suis dans ma fusée
    Souvent raison donc j’ai du mal à m’excuser
    Parfois j’ai la tête des bons jours
    Souvent la tete des accusés
    Désabusé, casque noir, j’barode dans la ville motorisé
    Fuck le monde, fuck les stup, fuck les autorités
    On m’a dit « fais toi discret comme au lycée »
    Mais moi j’men bas les couilles
    J’suis venu tout prendre car personne va m’autoriser
    Parfois j’ai le coeur sur la main… parfois j’men fous
    Parfois je crois que j’suis l’meilleur… souvent j’en doute
    J’aime plus l’humain, j’peux que militer pour l’hostilité
    Moi, pensées noires
    Inséparables comme Tobago et Trinité
    Ça finit par se faire parce que j’ai fini par le croire
    Les pensées parsemées viennent m’harceler
    Ça finit par se voir
    Parfois j’ai pas les mots
    Alors j’écris ce qu’il m’passe par la tête
    Comme si j’avais pas de démons…

  • Hara-Kiri [Paroles]

    [Couplet unique]
    Si j’écris cette lettre, c’est que j’ai quelques peines
    Si je l’envoie, c’est que j’ai quelques doutes
    Tout pour le bif donc j’ai quelques blèmes
    J’ai laissé mon âme derrière l’stade de foot
    Et petit j’voulais être craint comme la TNT
    Blanchir l’bif de la coke, me barrer sur la cote
    Ou bien vivre sur un yacht
    10 ans plus tard, j’respecte pas l’embargo comme la BNP
    J’cherchais le bonheur il a prit la fuite
    J’ai pas assez d’temps pour tout voir
    Encore moins pour tout croire
    Depuis j’veux prendre le pouvoir comme la Chine a pris l’Afrique
    Et j’te l’répéte, on fait pas de demi
    Pour la villa, la mer, il faut + de meuj
    Gamin j’voulais injecter dans une boite de nuit
    Et être convoité comme une puce de gueush
    Maintn’nant que j’ai tout j’me demande ce qu’il me manque
    Est-ce qu’ils me manquent tous ces petits moment
    Quand j’étais petit avec potos le soir
    Sans avoir à me demander qui me ment
    J’suis bien dans le vide
    Je sais qu’on s’ressemble mais c’est pas la même
    J’ai pris une feuille, j’ai pris un stylo, j’ai écris
    Parce qu’ils racontaient tous une vie qu’était pas la mienne
    Jamais tout seul si je parle à Dieu
    Est ce qu’il m’entend ?
    Qu’est ce qu’il m’attend ?
    Une chose est sûre, j’partirai pas tout seul
    Donc j’te préviens si j’pars, bah on part à 2
    Ca va mal finir si t’as pas les ronds
    Une guerre de rinté, ça fait pas d’heureux
    Comme une mère de famille hantée par l’héro
    Qu’abandonne son marmot, ouais c’est malheureux
    Petit j’étais violent mais peace
    Maintnant j’veux plus un million mais 10
    Moi contre moi
    J’me sens pris au milieu comme cette putain de Pologne
    Ou un enfant métisse
    Toujours bon produit, aucune récession
    Mauvais pied d’appui, mauvaise réception
    Aucune attente, aucune déception
    Aucune attache, aucune exception
    Ça parle d’investir dans la pierre, bla bla investir dans l’acier
    Monter une équipe de rinté, rajeunir l’effectif comme le Milan AC
    Regarde dans ses yeuz, tu verras qui nie
    Mourir pour ses principes comme Hara-Kiri
    Casque arai, je déboule de la droite
    Je remonte tout ton terrain, j’suis l’inter de Milan, Achraf Hakimi

  • Error 404 F [Paroles]

    [Couplet unique]
    Eh vato ici y’a pas d’norme
    J’crois que je te l’ai déja dis dans l’album
    J’veux conquérir le monde, finir à Rome
    Pas d’bol si y’a tas d’hommes plein les funérarium
    Y’a des semi et des automatiques
    J’maitrise la géographie, les mathématiques
    Black Code Tome 2, triste est la thématique
    Ton putain d’crane en sang dans un lavomatic
    J’veux l’avantador avant de mourir, j’rigole
    J’men bas les couilles comme les Clinton
    Prise en triangle comme dans Kingdom
    J’dirai pas à mon fils qu’il est v’nu sur une putain cigogne
    Pour du khaliss J’suis l’A6
    J’finis la saison avеc 20 buts, 23 assist
    Revenus actifs et passifs, fuck lеs assises
    L’été j’prends l’soleil comme un raciste
    Moi J’veux l’monde j’suis à l’étroit
    Fuck un T2, fuck un T3
    J’envoie mon fils à l’école, tu lui dis pas tais toi
    Parti d’rien j’suis v’nu tout prendre comme à Détroit
    On m’a dit « Kofal faut ralentir »
    Jm’en bas les couilles, j’vais pas t’mentir
    C’est fini les remords pour c’que j’en tire
    J’suis comme toi en pire j’veux mon empire
    J’ai peu d’amis, j’ai pas envie d’me faire planter
    Que les regrets viennent me hanter
    J’maitrise le milieu, j’suis comme Kante
    J’remercie Dieu tant qu’j’dors en paix, que j’ai la santé
    Ils tirent, ils sont pas précis comme une kalash
    Tu fous la rage, j’viens en survet à ton mariage
    Nouvel itinéraire, nouveau barrage
    Fausses plaques, maquillés RS6 dans les garage
    Casque intégrale sur la moto
    J’suis pas ton poto y’a pas d’quiproquo
    2022 l’album sort, c’est pas trop tôt
    J’fais pas d’promo, j’me mets même pas sur la photo
    On m’a dit dans la zik, t’as du talent faut mettre l’accent
    C’est pas qu’j’aime pas c’est qu’c’est lassant
    J’men bas les couilles d’itunes et des class’ments
    J’sais qu’j’vais finir rafalé du sang sur mes croissants
    Quand t’es pauvre tu restes pauvre, on a pigé
    Si tu mènes le jeu on va tricher
    Regarde les dégats qu’on va t’infliger
    J’me fais scred, j’parle peu j’fais ma route, rien à ficher
    En planque J’ai vu passé les meses
    Ils te parlent de liberté avec leurs gueules de SS
    Qu’ils gardent leur charité, leurs putains d’ASS
    T’es l’OTAN et l’ONU, j’suis L’URSS…

  • Tenet [Paroles]

    [Couplet I]
    Toute ma vie sur l’disque dur du mac
    J’suis sur la route il est 3h du mat
    J’bombarde comme si j’étais invincible
    Et que j’voulais tous les rintés d’une map
    Y’a peu d’potew et j’veux pas faire comme toi
    Black Code Tome 2 dans la paire d’airpod 3
    J’veux mes tal comme un bookie, rien n’est tout clean
    J’me sens sans vie, sous vide comme à brooklym (merde)
    Et chaque révéil me met des coups d’pieds…
    J’avance vois le temps s’écourter
    J’marche seul et j’me parle à moi même dégouté
    Chaque soir comme si j’m’écoutais
    Ceux qui t’aiment ne sont pas ceux qu’tu crois
    Puisque tout s’dit, j’crois plus en rien comme un toubib
    Et J’tourne en rond sans vie, tout l’temps
    Sans fond sans âme sans fin comme une toupie..

    [Couplet II]
    J’déambule dans les rues d’ma ville
    J’me dis qu’elle est rude ma vie
    À vide, j’gravite sans trajectoire
    J’ai le coeur qui palpite, et j’crois que ça sera la même seul ou avec toi
    Nouvel album j’suis dans tes mails, contre courant j’suis dans Tenet
    J’vois plus tes mecs, les bleus , les rouges j’sais plus
    J’vois plus très net, dans la lumière j’crois que j’’suis les ténébres
    J’écris des sons, j’ai pas sommeil… quelques sonners sous le sommier
    Quelle vie, tout est sommaire, putain d’merde
    J’crois que j’vois plus clair quand j’suis sonné
    Je ne t’aime pas comme un matin, en vrai la fin qu’à ton
    Merde c’est l’hécatombe
    Enfin, en fait
    J’men fous, tu sais, plus rien ne m’atteint moi comme un maton..

  • J'aime pas [Paroles]

    [Couplet unique]
    J’aime pas que les erreurs ne puissent pas s’annuler
    J’aime bien la phrase « Lève toi et marche »
    J’aime m’endormir la télé allumée
    J’aime pas les politiques et leur immunité
    J’aime pas la magie de noel, j’aime bien les sapins illuminés
    J’aime pas les dimanche et les jeudis
    J’crois que j’aime plus le foot parce que j’pleure plus dеvant les matchs comme quand j’étais petit
    J’aimе pas l’homme que j’suis dev’nu, j’aimais ce p’tit garcon
    Ce regard plein de fascination, j’aime pas les obligations
    J’aime pas le bruit des ambulances ou celui que fait la craie
    J’aime pas les erreurs parc’que souvent j’regrette après
    Tu m’dis ça va ? J’te réponds « pareill’ment »
    J’aime pas la démocratie en France parce qu’j’aime pas c’qu’on connait pas vraiment
    J’aime pas partir pour revenir
    J’aime pas voir un SDF car ça m’rappelle trop souvent c’qu’on pourrait devenir
    Car l’homme est nombriliste et que personne n’est à l’abri
    J’aime pas les chtars qui tirent à vue
    J’aime pas la phrase « C’est ça la vie »
    J’aime pas leurs controles d’identité comme s’ils m’avaient pas controlé la veille
    J’aime pas les uniformes, les entités
    J’aime pas les grades, la hierarchie
    Les gens qui s’prennent pour c’qui sont pas
    J’aime pas qu’on esquive toutes les choses qui vont pas
    J’aime pas tous ces gens qui pensent que le monde leur est du
    J’aime pas écrire assis, j’aime encore moins la phrase
    « L’heure est venue »
    J’aime pas les buches de noel, j’aime pas les papillottes
    Les petits racistes qui confondent être égoiste et patriote
    J’aime pas qu’on m’parle d’égalite parce que y’en a jamais eu
    J’aime pas la chance parc’qu’elle n’est jamais v’nue
    Le temps d’la paix est révolu donc j’aime bien la révolution
    Quand j’regarde l’homme j’aime pas l’évolution ni les résolutions
    J’aime ma mère, mais au fond je l’aime pas vraiment
    Parc’que j’ai peur du du jour où j’vais la perdre
    Pour toi c’est pareil non ?
    J’aime pas la phrase « il faut marcher droit »
    J’aime pas la pluie, j’aime pas l’orage, le vent, sauf quand j’suis chez moi
    J’aime pas qu’on me dise que j’ai pas le droit, parce que t’es qui ?
    Je m’aime pas moi
    Mais j’apprends parce qu’au fondj’ai pas le choix
    J’aime pas la vie ? la fin !, j’aime pas les vieux
    J’aime pas l’hiver car j’pense aux sans abris comme si l’été ils allaient mieux
    J’aime être sur ma bécane un jour d’été en plein soleil
    J’aime pas quand les chtars enfoncent ma porte en plein sommeil
    Savoir qui attaque et qui défend
    J’aime pas le terme « complotiste » car les pouvoirs complotent depuis la nuit des temps
    J’aime tellement ses yeux que parfois je m’y perdrais
    J’aime bien la paix mais elle n’existe plus depuis longtemps comme la liberté
    J’aime pas l’école, la servitude, la bêtise est immense
    Les influenceurs, le dropshipping, les trader du dimanche
    J’aime pas les hypocrites, j’aime pas les faux semblant, les mascarades
    J’aime bien la nuit, j’aime bien la route, j’aime bien les casques Arai
    J’aime pas qu’on t’aide parce que quand on t’aide y’a une feinte souvent
    J’aime pas l’début car à tout début y’a une fin… tout l’temps

  • Silk Road [Paroles]

    [Couplet I]
    Cette nuit j’ai fait un rêve où j’avais changé d’vie
    Et je crois que j’suis censé dire qu’avant tout ça j’me sentais vide (putain)
    Mais c’est trop tard une fois qu’t’es pris dans l’engrenage
    Que même ton putain d’ange te nargue
    Que ton assoss te parle de lance grenade
    P’tit sans limite, j’voulais bicrav de l’oxy pour faire des gros chfifres
    Peser, financer tous les camps comme les Rotschield
    Moi j’parlе pas trop, je fais pas dans la mandicité
    J’suis pas de ceux qu’on dit citеr
    Aucune attache, aucune complicité
    Moi J’aime la paix mais j’aime les armes alors chacun son vice
    Les autres ne valent pas mieux, ce n’sont qu’des salopes comme les maisons d’disque
    Qu’est c’tu veux j’te dise
    La rue y’a trop d’rivaux, des seringues dans caniveau
    J’veux un port franc pour faire dans l’blanchiment de haut niveau
    On m’a dit « j’vais braquer car j’crois c’est mort la vente »
    Combien voulait faire le million, combien sont morts avant putain
    J’suis sur grosse cynlindrée parce que la vie on apprecie la vraie
    Ils gèrent même pas celle de maint’nant mais t’parlent de vie d’après

    [Refrain x2]
    Parc’que frérot la vie c’est (parc’que frérot la vie c’est)
    Parc’que frérot la vie c’est
    Toujours faire semblant d’exister
    Passer son existence à résister…

    [Couplet II]
    J’vais pas te parler d’tout ni des frères qu’on a plus
    Ou d’ceux qui font d’la pure
    J’aime pas cette putain d’phrase « on a fait c’qu’on a pu »
    Un temps je fus, un temps pour tout mais l’temps me tue…
    Dans ma tête je suis mort depuis que les remords ne dorment plus
    J’étais pas pour les « aimez moi »
    J’voulais être corrompu comme L’EMA
    Tout niquer comme dans une cage de MMA
    Prendre le controle comme la nouvelle route de la soie
    Y’a que des tox avec des lacets
    Moi j’ai vu la fin donc j’ai la foi
    P’tit packaging, si tu coupes la C faut bien la vendre
    J’ai décroché la lune et je sais qu’un jour il faudra bien la rendre
    J’voulais l’equivalent d’un continent de meth’
    Fuck l’ecole et les maitres
    Pendant qu’tous ces fils de pute continuent de naître
    On fait pas dans les larmes mais dans la sombritude
    Sombre idiot
    Y’a toujours une histoire derrière la solitude
    J’sais qu’j’vais mourir à la fin donc j’apprécie l’rôle
    Fuck l’état comme dans silk road

    [Refrain x2]
    Parc’que frérot la vie c’est (parc’que frérot la vie c’est)
    Parc’que frérot la vie c’est
    Toujours faire semblant d’exister
    Passer son existence à résister…

  • Error 404 E [Paroles]

    [Couplet unique]
    Traffic maritime, on a la vue sur les ports
    C’est guerre 50/50 sur les torts
    La vie vaut plus rien alors on jure sur les morts
    Sur les mères, j’suis un peu poutine sur les bords
    On veut faire du bif, doucement sur le crime
    Ou ça va téssau comme en Crimée
    Pression, répression comme en guinée
    J’prends un sale coup, j’me remet à l’endroit comme un kiné
    On t’soulève toute ta planque en 4,6 minutes
    En catimini еt puis l’’écart diminue
    Pas d’timinik, j’arrive en tank,voiе d’gauche alors écarte ta Mini
    Fais pas l’cisgro, tu t’prends des douilles depuis les cartes panini
    Tu veux du flow j’vais t’en prêter
    Demande pas quand ca va péter ou j’vais t’traiter
    Cargaisons, bateau qu’faut affrêter
    Rien à fêter, j’suis mon propre enn’mi, j’peux m’arreter
    Tout doux l’rodeo, Alpha 75 Zulu Romeo
    Black Code Tome 2 roh non mais oh !
    Frappe en lucarne boum boum Romero
    T’abats un frère, j’prends des points d’deuil
    Les amis, j’les garde du coin d’l’oeil
    Des cicatrices sur le dos nu
    J’vais mourrir debout, tu sers à rien t’es comme l’ONU
    Y’a comme un air de piano
    Comme un air de pare-balle, comme un air de viano
    Très mauvaise vision du business gros
    Les mecs risquent Guantanamo pour des 4 anneaux
    On m’a dit Kofal comment t’abuses
    Mal vu comme un barbu dans un brabus
    J’parle mal d’ton rinté, j’fais chuter l’argus
    Nique sa mère, j’ai cassé ma puce a plus
    Pour les gros traffic, j’regarde la démographie
    Vote à main levée comme ma démocratie
    On s’fait tous baiser tu t’demandes par qui ???
    J’veux mon yacht mais j’vais m’faire fumer sur un parking
    J’suis sur un coup, on s’appelle apres
    J’suis juste venu leur rapp’ler qu’ils savent pas rapper
    Le fréro fait d’la peine, passe en cours d’appel
    Et l’ambition chute comme le cours d’la paix
    J’peux rapper sur n’importe quoi et n’importe quand
    Dans «faire disque d’or» y’a rien d’important
    J’veux faire le casse au moment opportun
    J’vise bien mais j’préfère te shooter à bout portant
    J’crois même pas en moi, moi j’crois qu’en Dieu
    Et j’sais très bien que j’partirai sans rien, fuck les envieux
    Fils de pute j’sors des punchlines quand j’veux
    Pendant qu’eux, ils s’payent des équipes ils s’croient dang’reux

  • Dernière lettre [Paroles]

    [Couplet unique]
    Wesh Kofal, je t’écris sans grandes convictions
    La vie c’est comme les garanties, on lit jamais les conditions
    Mais j’me suis dis peut m’comprendre mais kofal il peut
    J’suis chez moi, on est le 14 mars et dehors il pleut
    À ce qu’il parait que pour pleurer les hommes se cachent
    Ce qu’on m’a pas dit c’est que quand c’est la merde tout l’monde te lache
    La nuit je barode en ville, le regard dans l’vide
    On m’dit que demain tout ira mieux mais si moi j’ai pas envie
    Au fait mon frère tu sais pas comment ca m’atteint
    Quand tous ces fils de pute me disent wesh t’inquiète gros c’est pas la fin
    Mais qu’est ce qu’ils en savent eux
    Parce qu’au fond, bah y’a qu’toi qui sais
    Ils font bleuf de comprendre mais y’a qu’toi qui saigne
    Une chose est sûre, pour l’amour j’vais pas militer
    Ma femme m’a tout pris, mon appart, mon gosse et ma dignite
    Putain de merde, moi j’voulais juste une fille sincère, une vie sensée
    Pour combler le tout, ce fils de pute de patron m’a licencié
    J’crois que cette vie c’est pas pour moi , j’sais pas pour toi
    Mais moi plus l’temps passe, plus j’me lève j’sais pas pourquoi
    Moi qui fumais même pas j’roule des joints pétés
    La morale de l’histoire ? y’a peu d’amis y’a plein d’pd
    J’ai l’coeur serré comme s’il était sous les bombes
    Chez moi je parle au mur comme s’il pouvait me répondre
    La vie c’est trop chelou… tu prends tu lances
    Et tout ça ca m’casse les couilles comme les sirènes des ambulances putain
    Et j’vois toutes ces têtes de zombies le matin quand j’prends l’trome
    Comment faire quand les photos deviennent des souvenirs
    Les souvenirs deviennet des fantomes ?
    … Moi j’sais pas trop et toi
    J’ai l’impression que plus j’avance, plus le monde devient trop étroit
    On m’a dit : « calme toi fait pas l’con »
    Alors j’fais pas l’con mais j’ai juste envie de té-sau du balcon
    Autour de moi le monde se lève le monde se couche
    Au fait kofal franchement Black Code c’était un truc de ouf
    J’serai sûrement pas là pour le 2 j’pourrai pas l’acht’er
    J’vais tout lacher mais pour toi ca ira pour le mieux
    Mais frère faut me comprendre j’tiens plus l’coup
    Comme au dépot j’me shoote au xanax, le jour comme la nuit j’tiens plus d’bout
    Tout ce que j’retiens c’est qu’les gens veulent pas ton bien
    J’vais essayer de tenir quelques jours mais j’sais pas combien
    Cette nuit j’ai fais un rêve où tu m’avais répondu
    Donc j’te dis j’taime à l’avance au cas où j’me s’rai pendu
    Mon silence parle alors j’dis pas un mot
    J’sais pas, j’ai l’impression qu’la haine, l’amour, la peine ici m’ont rendu parano
    Dans la vie y’a ceux qui t’supportent ceux qui trainent
    PS : Prend soin de toi et surtout d’ceux qui t’aiment…

  • Continental [Paroles]

    [Couplet I]
    Moi j’me rappelle de la première fois qu’j’ai vu la mer
    Aussi des bénéf de litrons dans des baveux qui puent la merde (hein)
    Si tu veux connaitre mon histoire j’vais t’compter l’ère
    J’aime la froideur de la russie, j’aime les chargements de contenaire
    J’ai plein de montres mais j’ai pas vu l’temps passer
    Pour une villa, quelques gamoss, million d’galères viennеnt s’entasser tu sais
    On change dе plan, ça dépend si tu changes de camp
    Y’a pas d’la miff, on paye un p’tit casqué qui t’alllume en 2 temps
    La rue te porte ou t’ralentit, moins d’300K t’es qu’apprenti
    S’tu crois l’contraire, qu’tu vas t’refaire on t’a menti
    Que vaut une tour lorsque le continent parle
    Moi qu’est c’que j’irai foutre dans une bentley continental (dis moi)
    On rêve de bif et d’gloire, mais le biz est noir
    À l’ange gardien on crie « laisse moi »
    On vise l’espoir, hésite entre vivre et croire
    Moi j’fais d’la qualité… mais j’ai l’esprit totalitaire
    Non j’aime pas perdre et j’veux le magot dans la totalité
    J’t’avais prévnu je l’avais prédit
    Tu m’dois des tal, j’perds l’appetit
    J’avais la haine dans la rétine dès la tétine
    Des cicatrices, tous s’plaignent
    Y’a que dans l’sang que tout baigne
    Ils m’font golri car tous craignent que tout s’paye (putain)


    [Couplet II]
    J’ai vu la mort j’ai vu c’putain d’temps s’arrêter
    Comme un leurdi qui pass’ra par l’épée, ne pass’ra pas l’été
    Darone m’a dit « faut du courage quand vient l’orage »
    Car tout finit mal quand seuls les coups d’hache te découragent ici
    Tu veux l’soleil tu vois la pluie, si t’as pas l’appui
    Des frères qui passent pas la trentaine et des darones qui pleurent la nuit
    Des g17 dans des boites de céréales
    Parce que la vengeance est réelle
    Parc’que la haine resserre les ames parfois
    Pour l’instant ils tiennent leur coin parc’qu’on les laisse
    Si d’main on leur prend tout, ils f’ront rien car on les baise tu sais
    J’peux t’humiliere comme une madjer, comme un p’tit pont
    Ptit con, Ils ont 30 piges mais font des chromes sur un litron
    T’as vu l’début, sache que la fin s’ra pas jolie
    Ensanglé débardeur blanc, ta tête dans les raviolis
    Si t’as pas de parole, ça va t’faire toi et tes videurs de boite de nuit
    Puis ça te laissera en réa comme cette putain de bac de nuit…

  • Itinéraire [Paroles]

    [Couplet unique]
    J’me méfie pas de ceux qui ne savent que parler vite
    J’aime pas les hommes non, j’préfère régner sur un palais vide
    Ca change de puce après 4 « allo »
    Toi t’es stupide comme investir toute sa paye sur un 4 anneaux
    Elle m’a dit oh moi j’veux ton coeur pour rester
    … Mais moi, j’suis prêt à mourir pour l’respect
    Ici on vit, on dit c’qu’on est
    J’rêve de noel sur un yacht et 800 kil’ conditionnés
    La vie c’est comme un couplet sans refrain
    Et dans lе noir comme avancer sans refré
    Dans lе virage vato ça pilote sans le frein
    Chez moi y’a le miroir ouais mais toujours sans reflet
    Ça joue les téméraires, change la contine et l’air
    Y’a les pu’ (police), 3 ouvreuses, 2ème itineraire
    Moi j’sais pas tempérer et tant pis si j’en péris
    J’suis légion sans béret, né par un putain d’soir d’intempérie
    Si dans ma tête on est plusieurs, combien s’aiment en moi 
    Le monde est sombre, immensément noir 
    Et je sais bien qu’réalité viendra baffer le temps
    Et si je dois mourir demain la pluie viendra laver le sang
    Ils parlent trop, c’est que de lesbrouf
    Passe aveugle, même ailleurs j’reste OKC comme Westbrook
    Si tu parles mal c’est qu’on dérange, donc au final dégage
    J’vise le triple double en finale de conférence
    Tu peux mentir à tout le monde même l’ethylotest
    La vérité convoitée comme un kilo d’cess 
    Un jour t’auras le prix d’une dose pour le prix d’une pomme 
    Combien son béton pour une tonne, béton pour une conne
    Ton ami reste ton ami tant qu’il y a un intérêt commun 
    On verra quand tu seras dans l’coma... hein 
    Tu m’trahis j’te dis bon allez ça va 
    Puis j’tenvoie une frappe du gauche comme Mohamed Salah 
    Contre attaque, je ‘enlève le sourire comme un glock
    La haine me tue ou toi, c’est l’thème
    Une chose est sûre, j’mourrai debout jusqu’à ce que les étoile s’éteignent…

    [Refrain]
    Et si j’devais partir demain hein, et si c’était mon dernier son
    Et si ce chemin c’est le mien hein, j’aurai fais la même chanson…

  • Neon [Paroles]

    [Couplet I]
    Sur Long trajet l’important c’est les roues
    Le nerf de la guerre c’est les ronds
    Quand c’était la merde t’étais où ?
    Scred comme chevalier d’Eon
    On voit moins les larmes sous néon
    11 balles dans l’chargeur mais j’reste modéré
    Les pions plein les cimetières, il reste que les rois
    Toi je t’aimais pas mais je t’ai toléré
    Parce que quand bateau coule il reste que les rats
    Au tiéquar mirador, sentinelles, très peu d’sentiments
    Un pétard dans l’dos, bats les couilles d’un kiné
    Il m’doit des tal j’écoute pas quand il ment
    Y’a les pu (police), j’accélère en courbe inclinée
    Des gros fils de pute j’savais qu’j’en verrai
    On dit que j’suis violent, j’me trouve tempéré
    Premier repérage, y’a les chtars au péage
    À la moindre erreur on va m’enterrer
    La vie c’est pas si mal mais la vie c’est pas l’ciné
    J’veux faire 30 000e par semaine mais j’sais pas si mes
    Rêves vont s’faire calciner
    J’pense à rien peut-être à nous, j’sais plus trop
    Le coeur qui serre y’a du tér dans l’Audi
    Aujourd’hui j’suis quelqu’un, demain j’suis plus personne
    Après demain on m’enterre on m’oublie…

    [Refrain]
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent (x2)
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent
    Si moins de potes, moins de peines
    Les journées qui passent sont les mêmes (fuck mes ennemis)
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent
    Personne ne va crier à l’aide
    À ma mort on verra ceux qui m’aiment (fuck mes ennemis)

    [Couplet II]
    J’avais un coeur mais l’oseille l’a pillé
    Tu cherchais l’enfer, bah t’y es
    Si on t’attrape à vriller c’est pas des cocars ‘p’tit batard
    Qu’faudra te faire maquiller
    Et m’donne pas tes conseils, des malins des génies
    Y’en a plein les cimetières
    J’vais t’sortir un canon si t’aimes
    Ta grand mere la pute dans un camion citerne
    Moins t’as d’amis, moins t’as d’ennmis, ça c’est garanti 
    Tout le monde va canner comme un Tarantino 
    Ouais gros, mais moi jme barre pas tant que c’est pas rempli
    Et si j’échoue c’est que c’était écrit
    Mais si j’ai réussi, c’est que je l’ai mérité
    On a pris ton rinté, on a cassé les prix 
    Sur ta carrière de leurdi marqué RIP
    Des litrons plein les fut
    Ils parlent trop on les gaze, ils reparlent on les fume
    J’me fais chier comme un chtar monegasque
    Eux, Ils font les cistegro, ils claquent tout dans les putes
    La vie ? J’ai rien compris comme dans TENET
    Ca s’prostitue comme des playmate
    Le temps emporte tout…
    Et tout ce qu’il reste à la fin c’est les ténèbres…

    [Refrain]
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent (x2)
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent
    Si moins de potes, moins de peines
    Les journées qui passent sont les mêmes (fuck mes ennemis)
    Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent
    Personne ne va crier à l’aide
    À ma mort on verra ceux qui m’aiment (fuck mes ennemis)